À propos de François Martel Lacoursière

 

J’ai commencé ma carrière de joueur au tout début des années 80 lorsque mon père a décidé de m’offrir un Atari 2600, avec la cartouche de Ms. Pac-Man, comme cadeau de Noël. Depuis, j’ai butiné de plateformes en PCs, du Nintendo Entertainment System au PlayStation 5, en passant par le Tandy 1000 (un micro-ordinateur exclusif à Radio Shack). C’est sur ce compétiteur du Apple II que j’ai développé un intérêt pour les jeux d’aventure de compagnies telles que Sierra Online dans lesquels on devait formuler des phrases courtes (sujet/verbe/complément), en anglais s’il-vous-plaît, pour activer son avatar (Qui a dit que les jeux vidéo ne sont qu’une perte de temps ?).

 

Aujourd’hui, je consacre davantage de mon temps de jeu à la réalité virtuelle. Il s’agit du médium au centre de mes recherches. Je suis présentement étudiant au doctorat au département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l’université de Montréal. Je suis également enseignant au Collège militaire royal de Saint-Jean depuis plus de 16 années. Tout comme mon ami et collègue David Boulanger avec qui je collabore sur ce blogue, mon parcours académique passe par l’histoire au premier et deuxième cycles universitaires.

 

J’aime m’immerger dans toutes sortes de mondes, pas seulement virtuels, que sont à même d’offrir les jeux vidéo à monde ouvert (Red Dead Redemption, Horizon), les jeux de rôle (sur écran et sur table) comme The Witcher, Fallout, Vampire: The Masquerade, Cyberpunk et le fascinant microcosme du Pinball. Selon moi, les jeux détiennent un potentiel unique en termes de rapport au récit, de représentation de l’espace, de perception de son environnement physique/virtuel et de relation entre les humains et les personnages non-joueurs.

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